30 Oct 2024

title pic Des solutions pour réagir face aux règles pertubées

Posté par Bérengère Arnal le 28 septembre 2013

Retrouvez mes conseils dans le Santé magazine d’aoà»t 2013.

Cliquez ici pour consulter la publication 2013_08_22_09_13_06

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title pic Les compléments alimentaires

Posté par Bérengère Arnal le

Je vous recommande l’acquisition de cet ouvrage original très complet qui liste les thérapeutiques naturelles validées en fonction des pathologies.
C’est une mine d’informations pour les médecins et les non-médecins
J’ai eu le plaisir de faire partie du comité scientifique de ce livre qui fait partie de ceux que l’on doit garder impérativement près de soi !
pour soi ou pour les autres…

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title pic Découvrez la Boldoflorine

Posté par Bérengère Arnal le 16 juillet 2013

Le Pr Michel paris, professeur émérite de pharmacognosie de la Faculté de pharmacie de Paris a co-rédigé un petit livre charmant sur l’histoire de cette tisane pour le foie, dont l’efficacité n’est plus à  démontrer !
Pour vous le procurer, téléphonez à  :

Studio Pat, 38 Grande Rue
78550 Houdan, .01 30 59 60 74
Tous les secrets de cette tisane pour le foie en vidéo

Cliquez sur le lien suivant pour accéder à  son contenu :

http://www.ina.fr/video/PUB3212130027

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title pic Conférence sur la prévention du cancer du sein à  la faculté de droit à  Agen

Posté par Bérengère Arnal le

Organisée par Brigitte Biar. Elle aura lieu le 20 septembre 2013. J’interviendrai à  18h.

Le thème : La prévention du cancer du sein :

– Prévention primaire : comment freiner la courbe du nombre de cancers du sein qui ne cesse de progresser ?

– Prévention secondaire : quel dépistage appliquer pour mettre en évidence le cancer du sein le plus précocement possible afin de donner le plus de chances de guérison ?

– Prévention tertiaire : que faire après un cancer du sein (alimentation, exercice physique, gestion des stress, environnement, thérapeutiques naturelles complémentaires) pour participer à  la lutte contre les risque de récidives, de métastases et de second cancer ?

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title pic Un livre peu ordinaire

Posté par Bérengère Arnal le 8 juillet 2013

Lisez avec respect l’ouvrage de Marie-Françoise Fresneau, une maman, une femme atteinte au plus profond d’elle-même par une indescriptible et intolérable souffrance.

elle aurait pu se laisser mourir
elle a choisi de vivre, de se nourrir de cette souffrance pour la transcender d’une admirable façon,
elle est née à  nouveau et nous fait le cadeau de ce livre publié à  compte d’auteur dont le pr Henri Joyeux, à  ma demande, a rédigé cette préface.
Le chemin bleu préface
Marie-Françoise a trouvé dans sa maison, ses enfants Théo 5 ans et Léa 3 ans pendus par son mari… à  cà´té de ces petits corps, ceux du chien et du mari, pendus…

Théo et Léa reposent à  jamais dans le même cercueil

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title pic Rose magazine n°4 est sorti !!

Posté par Bérengère Arnal le 2 juin 2013

Surtout ne le jetez pas quand aurez fini de le lire, c’est un cadeau qui vous est fait, partagez-le avec d’autres femmes (mêmes non concernées personnellement par le cancer).

Vous pouvez consulter la couverture  en cliquant sur ce lien  RM4_COUV

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title pic Les clés nutritionnelles de la ménopause

Posté par Bérengère Arnal le

La nutrition est un des éléments du vaste puzzle de la prise en charge de la femme ménopausée. Chaque pièce du puzzle est indispensable et nécessaire à  l’équilibre de l’autre : facteurs hormonaux, nutritionnels, psychologiques, environnementaux, pratique d’une activité physique…
La prévention, ou du moins la freination, du vieillissement après la cessation de l’activité hormonale ovarienne passe par le concept de santé globale intégrant tous ces éléments en vue d’une bonne santé la plus durable possible.
Un statut nutritionnel différent à  la ménopause
Il convient de mettre en avant les problèmes plus spécifiques que rencontre la femme ménopausée et post-ménopausée en matière de nutrition et de métabolisme.
1- Une carence en chrome
Le chrome, actif, sous forme de CR3+-GTF (Glucose Tolérance Factor), est indispensable à  l’activation de l’insuline dont il favorise et augmente l’activité. Il permet une utilisation rapide des sucres, réduit la lipogénèse et contrà´le la sensation de faim. La biodisponibilité du chrome diminue après 40 ans, ce qui peut expliquer les plus grandes difficultés qu’ont les femmes à  maintenir leur poids dès la pré-ménopause. La carence en chrome est aggravée en cas d’activité physique intense, de grossesse, d’artériosclérose… et lorsque l’alimentation est « raffinée ». On trouve du chrome dans les céréales intégrales et dans le sucre complet. Des éléments riches en chrome peuvent être prescrits en complément : la levure de bière (Saccharomyces cerevesiae), la spiruline (Spirulina), le galega (Galega officinalis), ou la cosse de haricot (Phaseolus vulgaris).
2- Un changement du métabolisme
La carence hormonale ovarienne, estrogénique et progestéronique, induit un bouleversement de la répartition des graisses par le biais d’une diminution d’une enzyme, la lipoprotéine lipase, dont l’activité est régulée par ces hormones sexuelles. Les graisses se localisent alors préférentiellement au niveau abdominal.
Les dépenses énergétiques de la femme ménopausée souvent moindres, en rapport avec une diminution de l’activité physique et sportive, génèrent ainsi une perte de masse musculaire.
Parallèlement, le métabolisme de base diminue proportionnellement à  la réduction de la masse musculaire et à  l’augmentation de la masse grasse.
Les dépenses énergétiques liées à  l’alimentation sont d’autant plus diminuées que la durée des repas est brève, que ces repas sont en nombre réduit, et que leur composition privilégie les lipides et les glucides plutà´t que les protéines.

3- Des changements possibles de comportement alimentaire
Certaines femmes, soit pour des raisons émotionnelles (perturbation de l’image de la féminité, de la place de mère, d’épouse dans le cadre familial, dans la société), soit parce qu’elles sont mal ou pas compensées par un traitement de ménopause phytothérapique ou allopathique, présentent des modifications du comportement alimentaire. Ce peuvent être une attirance accrue vers les aliments sucrés, des grignotages en dehors des repas, des petits repas pris rapidement en solitaire… Tous ces éléments aboutissent à  une augmentation de la ration calorique, privilégiant souvent les glucides au détriment des protéines. Une prise de poids, mal vécue, souvent inesthétique s’installe petit à  petit, là  o๠il ne faut pas, ventre, hanches, cuisses, entraà®nant parfois la femme dans un véritable cercle vicieux, via une modification et un refus de l’image corporelle avec un risque de bascule vers de véritables troubles du comportement alimentaire.

4- Une augmentation des risques de maladies cardio-vasculaires avec modification de la répartition de la masse grasse, du LDL cholestérol et diminution de la tolérance glucidique (syndrome métabolique)

5- Une accélération de la perte osseuse liée à  l’arrêt des sécrétions oestrogéniques

6- Des besoins en fer qui diminuent du fait de l’arrêt des règles

7- Un risque de maladies dégénératives tels que les cancers du sein, du colon qui justifient une prévention nutritionnelle spécifique

Une nutrition différente à  la ménopause ?

Le concept de nutrition-santé développé ces dernières années par de nombreux auteurs et qui est le thème d’une campagne nationale peut être affiné pour les femmes à  et après la ménopause en prévention du vieilllissement général, de la déminéralisation, des pathologies cardio-vasculaires et de certains cancers.

1- Des conseils pour une santé durable et la prévention du vieillissement :
boire 1 litre et demi d’eau par jour
boire un verre de vin rouge riche en OPC (proanthocyanidols) aux deux repas chaque jour
limiter tous les autres alcools ; varier l’alimentation = 40 aliments différents par semaine
diminuer la consommation de graisses animales saturées, au profit des acides gras insaturés en particuliers des acides gras omega 3 (huiles de colza, de noix, de lin, graines de lin, petits poissons : maquereau, anchois, sardine…3 fois par semaine)
exclure les graisses hydrogénées, 1er grand ennemi
consommer 10 à  15 g de beurre (bio) ; pour un surplus de matière grasse, préférer les margarines enrichies en oméga 3 crues et à  cuire
préférer les viandes blanches aux viandes rouges
augmenter les apports en légumes et fruits (bio) , 5 à  7 différents par jour
introduire une fois par jour des légumineuses et/ou des céréales, préférer les céréales complètes (bio)
éviter l’excès de produits laitiers de vache, privilégier des produits laitiers de chèvre ou de brebis
diminuer globalement les glucides, préférer les sucres lents aux sucres rapides, exclure les aliments contenant du sirop de glucose 2ème grand ennemi, éviter les sodas
diminuer le sel,préférer un sel iodé
augmenter la consommation de fibres alimentaires
faire des cures régulières de probiotiques et prébiotiques
pratiquer une activité sportive en favorisant la marche à  allure moyenne (45 min par jour minimum), la transpiration fait éliminer les toxines (pesticides = insecticides + antifongiques + herbicides, colorants, additifs, conservateurs…)
acheter « bio » sinon acheter « raisonné »
conserver le moins longtemps possible
cuire à  la vapeur douce ou rapidement à  la poêle ou au wok…
limiter les fritures et les barbecues
conserver toutes les huiles dans des bouteilles opaques, au réfrigérateur, dans de petites bouteilles et sous vide si possible pour éviter la peroxydation
varier les huiles alimentaires ainsi que les eaux minérales, filtrer l’eau du robinet

2- Plus particulièrement pour la prévention de l’ostéoporose surtout en cas d’antécédent familial
– la vitamine D
Elle se dose dans le sang. En cas de carence, très fréquente, après la prise de vitamine D, la consommation d’une boà®te de foie de morue tous les quinze jours sur une tranche de bon pain au levain.
– le milieu alcalin
Les légumes et fruits par leur pouvoir alcalinisant et leur richesse en micronutriments protecteurs dont des polyphénols aux propriétés phyto-oestrogéniques ont un rà´le clé dans la prévention de l’ostéoporose au niveau de la perte du calcium urinaire. Les produits laitiers, les viandes sont acidifiants. Il faut associer les aliments en fonction de leur impact sur l’équilibre acido-basique.
– privilégier les eaux de boisson, riches en calcium, Contrexéville, Hépar…
– les protéines
L’os est constitué de protéines. Il y a lieu de consommer des protéines en grande quantité : légumes, fruits, poissons dans cette indication.
– l’activité physique est un élément préventif de l’ostéoporose tout comme
– une discrète surcharge pondérale (IMC 25 à  28) est un élément positif pour la prévention de l’ostéoporose

3- Plus particulièrement pour la prévention des risques cardio-vasculaires surtout en cas d’antécédent familial
– arrêt du tabac impératif
– diminution des acides gras saturés
– augmentation de la consommation d’omega 3 et d’antioxydants (légumes et fruits)
– pratique d’une activité physique régulière

4- Plus particulièrement pour la prévention des cancers
– boire 1 litre et demi de thé vert plus que de thé noir par jour
– utiliser les épices dont le curcuma avec le poivre ou le curry tout prêt
– utiliser larga manu l’ail et l’oignon frais ainsi que les plantes aromatiques fraà®ches : le thym, le basilic, le persil…
– renforcer l’alimentation à  visée anti-oxydante et riche en omega 3

5- Plus particulièrement en cas de sur-poids
– ne pas grignoter entre les repas, manger lentement, faire trois repas par jour
– éviter tous les excès,
– diminuer globalement les quantités, ne pas se resservir
– ne pas consommer d’alcool

Conclusion. Il convient donc de mettre en place, à  la ménopause et à  la post-ménopause, une alimentation saine, correspondant réellement aux besoins spécifiques des femmes. Cette alimentation doit être corrélée à  la recherche d’un équilibre psychique et à  la pratique d’une activité physique régulière. Pour une raison toute simple : la ménopause est le début d’une nouvelle vie.

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title pic Ablation des seins, à  propos du choix de l’actrice Agelina Jolie

Posté par Bérengère Arnal le 16 mai 2013

Retrouvez  ci-dessous mon interview pour Femininbio mis en ligne le 15 mai 2013.

Vous pouvez également consulter l’article complet en cliquant sur ce lien.

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Que pensez-vous de la décision d’Angelina Jolie ?

C’est une bonne décision pour la double raison qu’Angelina Jolie présente une mutation du gène BRCA1 et que sa mère est décédée jeune d’un cancer du sein (56 ans).

C’est une décision mà»rement réfléchie , par elle en tant que fille face à  son deuil, par elle en tant que  maman d’enfants qu’elle veut préserver de cette souffrance, par elle en tant que femme belle et épanouie dans sa tête, dans son corps et dans sa sexualité, par elle et lui, Brad Pitt, en tant que couple uni et en tant que parents responsables.

Qu’est ce qu’une mutation du gene BRCA1 ? Comment le dépiste-t-on ?

Les gènes BRCA1 sur le chromosome 117 et BRCA2 sur le chromosome 13 sont des gènes de susceptibilité au cancer du sein et au cancer du sein.

Les mutations de ces gènes (modification de l’ADN) sont responsables d’une augmentation des cancers du sein et de l’ovaire et concernent une femme sur 500. Ce risque est plus élevé dans les populations très consanguines (femmes juives Ashkénazes ou islandaises). Mais toutes les femmes porteuses d’une mutation génétique BRCA1 ou BRCA2 ne font pas un cancer du sein ou des ovaires.

Un test sanguin est prescrit par l’oncogénéticien après qu’il ait dressé un arbre généalogique des divers cancers familiaux, s’il juge qu’il y a un risque de mutation de ces gènes. Les hommes peuvent eux aussi être porteurs de ces mutations (un cancer du sein sur 100 en France touche l’homme).

Cet examen est pris en charge par la sécurité sociale, les résultats sont communiqués après environ un an.

Un test négatif concernant les gènes BRCA1 et BRCA2 dans un fort contexte familial de cancers du sein et de l’ovaire ne peut exclure la possibilité que d’autres gènes (que nous ne connaissons pas encore) soient mutés et que, dans l’état actuel de nos connaissances, ils ne soient pas détectables pour le moment.

Etait-ce la seule solution pour elle en raison de la présence de ce gène BRCA1 ?

C’est la seule solution qui va faire passer le risque de k du sein de 87{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff} à  moins de 5{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff} (autour de 2{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff}). Les chiffres transmis par les oncogénéticiens français sont plutà´t autour de 70{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff} concernant le gène BRCA1 avec un chiffre un peu moindre pour BRCA2 (contre 10{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff} dans la population générale).

La prise préventive de tamoxifène (anti-Å“strogène, généralement donné pendant cinq ans après un cancer du sein hormonodépendant) n’a pour le moment pas fait ses preuves en présence d’une mutation des gènes BRCA 1 ou 2.

Peut-être envisagera-t-elle dans l’avenir de faire enlever ses ovaires pour se libérer du risque de 50{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff} d’avoir un k de l’ovaire ? Les chiffres transmis par les oncogénéticiens français sont plutà´t autour de 40{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff} concernant le gène BRCA1 avec un chiffre un peu moindre pour BRCA2.

Les traitements hormonaux de synthèse (pilule contraceptive, traitements hormonaux de la ménopause) sont dans ce cas totalement contre-indiqués. Il faut faire appel en matière de contraception à  des solutions non hormonales et en cas de ménopause à  des traitements naturels (phytothérapie, homéopathie).

Est ce vraiment une bonne façon de diminuer significativement les risques de cancer du sein dans son cas ?

Oui c’est une bonne façon de diminuer les risques en cas de mutation du gène. Le risque de cancer du sein n’est pas nul car on conserve la peau des seins. Généralement, les mamelons sont retirés pour diminuer le risque.

Il est possible de faire préventivement un traitement par radiothérapie de la zone mamelonnaire pour autoriser la conservation des mamelons lors de la mammectomie bilatérale sous-cutanée.
Cette conservation des mamelons permet de conserver le pouvoir érogène des seins. Perdre ses mamelons est un douloureux sacrifice.

Cette ablation préventive est-elle possible en France ?

Elle est possible en France mais assez peu pratiquée pour le moment. Il faut rappeler que cette intervention prophylactique n’est autorisée qu’en cas de mutation d’un des deux gènes  BRCA1 ou 2 et que c’est l’oncogénéticien qui a ce pouvoir décisionnel.

Les ovariectomies bilatérales prophylactiques sont plus fréquentes et généralement pratiquées entre 45 et 50 ans. Elles peuvent se pratiquer avant si la mère est décédée plus jeune d’un cancer de l’ovaire.

Est il ensuite possible/souhaitable de poser des prothèses mammaires ?

Il faut bien expliquer qu’il s’agit d’une mastectomie sous-cutanée avec conservation des mamelons. On ne lui a pas enlevé les deux seins mais le tissu glandulaire sous la peau qui est conservée. Il est donc licite d’insérer des prothèses mammaires dans ces enveloppes de peau afin de retrouver le galbe antérieur.

Nous pensions que le cancer du sein était finalement peu lié au terrain familial, or dans ce cas la probabilité est énorme. Pourquoi ?

Sur la totalité des cancers du sein qui touche une femme sur huit en France, les cancers du sein d’origine génétique ne représentent que 5 à  8{b25895a8f5e0ff3719105b2677d38433f335dc254f3fece3fcbe7f59b02166ff}  des cancers du sein, soit 2000 à  3500 femmes par an. En cas d’antécédent familial proche de cancer du sein mais aussi de l’ovaire – mère, tante maternelle, sÅ“ur, fille – il y a lieu d’être plus vigilant au niveau du dépistage clinique et  radiologique : mammographie et échographie plus précoces sont recommandées.

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title pic Un nouvel article qui dénonce la banalisation de la contraception orale

Posté par Bérengère Arnal le 12 février 2013

Je vous invite à  consulter cet article du quotidien Métro daté du 5 février 2013 en cliquant sur  le lien suivant Metro 05_02_13.

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title pic Un livre intéressant : Mon bébé mois par mois (0-1 an)

Posté par Bérengère Arnal le

Je suis fière de vous présenter l’ouvrage du Dr Christine Coquart, ancienne étudiante du DU de phytothérapie de la Faculté de médecine Paris 13, Bobigny, dont j’ai été la responsable pédagogique de 1997 à  2012 : un livre pratique, original, à  conseiller aux mamans et futures mamans et aussi aux pédiatres et médecins généralistes désireux de s’ouvrir aux médecines naturelles.

Je le garde sur mon bureau, c’est une véritable mine d’informations et de conseils !

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Bérengère Arnal, le blog

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Tout autre site portant son nom est une contrefaçon. Etant précisé que le Dr Bérengère Arnal ne demanderait jamais de dons en son nom ou pour une quelconque association à travers un site.